Le selfbondage comporte toujours le risque de s’auto piéger. Pour des raison évidentes de sécurité, chez moi, je double toujours les moyens d’auto libération. Là où je suis le plus rassuré c’est dans les hôtels car, si je me bloque, il y aura toujours la femme de ménage qui passera.

Pour éviter les ennuis et peut-être même une intervention de la police, à chaque fois, j’écris sur un papier posé en évidence face à la porte :

...........................

Bonjour et désolé madame ou monsieur.

• Je me suis fait ça tout seul par plaisir

• Si vous me trouvez c’est que je suis bloqué et j’ai besoin d’aide.

• N’appelez pas la police donnez-moi les clés ou coupez les entraves.

• Revenez plus tard et laissez-moi tout ranger.

• Je vous donnerai un gros pourboire si vous m’aidez et ne faites pas de scandale.

Merci de votre compréhension et de votre discrétion

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J’étais vraiment très excité ce soir là, au point que j’ai expédié le dîner que j’ai pris dans le restaurant de l’hôtel, au lieu d’aller fouiner. Ma douche fut prise elle aussi rapidement, et presque à l’eau froide à la fin pour me faire débander et surtout, être sûr d’arriver à mettre ma nouvelle cage de chasteté. J’avais envie d’essayer la Cage de chasteté chastity total de ABCplaisir. Comme elle est très courte, il fallait vraiment que ma verge soit molle.

https://abcplaisir.com/cage-de-chastete-metal/920-cage-de-chastete-chastity-total.html

Une fois mise, comme j’avais laissé les clés dans ma voiture, je m’étais imposé la sagesse jusqu’au lendemain soir. Tout mon matériel était prêt et m’attendait sur le lit. Rien que de le voir en sortant de la salle de bain, a eu de l’effet sur mon pauvre zizi confiné.

Juste une des pièces du Kit de Bondage restrictions portes BDSM qui permet de s’attacher à n’importe quelle porte.

Ma Cagoule d'isolation BDSM bondage et selfbondage

Mes menottes poignet en métal qui ne s’ouvrent pas sans clés.

Des pinces à sein vibrantes

12 colliers de bondage ou selfbondage réutilisables facile à ranger dans la valise

Mon Bâillon boule percé

Mon Mini MAXI vibromasseur Magic Wand massager à pile

Mon Prostate massager vibrant chauffant à télécommande sans fil

Tout cela vient de la rubrique selfbondage de ABCplaisir.

De la ficelle

De la corde.

Mon but dans ce selfbondage était de voir si j’arriverai à jouir entravé et dans une cage de chasteté ou de me frustrer à mort jusqu’au lendemain soir.

Une fois que j’ai fermé la porte de la salle de bain, avec juste une des pièces du Kit de Bondage restrictions portes BDSM, je lui ai mis 2 cordes. Une que j’allais attacher à mon sexe, l’autre sous mes bras pour que je ne tombe pas. J’ai suspendu ma cagoule + le bâillon pour finir de me préparer.

Pour ma libération :

D’habitude j’utilise de la ficelle à rôti qui est très solide. Comme je n’en avais plus quand je suis parti, j’avais pris du ruban pour les cadeaux. J’ai déroulé tout le rouleau dans la chambre en faisant attention qu’il ne se bloque pas car au bout, il y a les clés des menottes. Après, je l’ai attaché aux menottes. Donc pour récupérer les clés et me libérer, j’allais devoir tirer 25 mètres de ruban avec mes mains menottées dans le dos.

Le prostate massager a trouvé sa place dans mes fesses. Avec une corde courte, je me suis fait un string pour bien le maintenir et y bloquer mes menottes. Heureusement que j’avais la cage car je crois que j’aurai triché et gâché mon projet. Une fois que tu as joui, tu n’as plus envie de jouer. Par masochisme, j’ai posé de suite les pinces à sein vibrantes. Je dis par masochisme parce que pour lier mes chevilles et mes cuisses avec les colliers selfbondage, j’ai évidement du me pencher en avant..... Une fois fait, j’ai allumé le prostate massager vibrant chauffant et j’ai jeté la télécommande sur le lit. Hummm

J’ai attaché une des cordes à mon sexe encagé en passant entre mes jambes et je l’ai bien tendue. Le but étant de pouvoir tirer et de jouer avec mon anus rempli et sur la cage.

A cette cage de chasteté, j’y ai suspendu le Mini MAXI vibromasseur Magic Wand massager à pile avec de la ficelle.

Sachant qu’une fois que j’aurai mis la corde de sécurité sous les bras je ne pourrai plus le mettre en route, je l’ai allumé. Hummmm ma cage de chasteté vibrait et mon anus s’extasiait lui aussi en vibrant et en commençant à chauffer. Il devenait urgent de finir de m’entraver !

J’ai donc rapidement passé la corde sous mes bras et j’ai fait un noeud solide car c’était ma seule sécurité anti chute et tomber, avec la cage de chasteté attachée m’aurait fait très mal. Par masochisme des tétons, dans mon excitation, j’ai un peu plus serré les pinces à sein vibrantes. J’ai mis mon bâillon et la cagoule que j’ai serrée et bien fermée avant d’allumer les dites pinces. Après avoir tout vérifié et repensé dans ma tête, (trop vite) j’ai fermé les menottes sur mes poignets.

Pour résumer ma situation, j’étais entravé debout contre la porte de la salle de bain. Cela vibrait dans mes fesses, sur ma cage de chasteté et mes tétons. Quand je fléchissait les genoux, cela tirait sur la corde de mon sexe (aie) mais enfonçait un peu plus le sextoy de mes fesses. (Humm) Complètement aveuglé et isolé dans ma cagoule, j’entendais clairement ma respiration gênée par le bâillon. Le prostate massager commençait à beaucoup chauffer et continuait de vibrer. Bouger les fesses et mes jambes liées sollicitait bien mon sexe et mon anus.

Ma tête est partie dans des tonnes de fantasmes inavouables. Entre les mouvements, les douleurs, les vibrations, j’étais dans un autre monde. Je ne pouvais rien contrôler, je devais subir toutes ces sensations diaboliques. Malgré tous mes efforts, le bondage et les sextoys, je n’arrivais pas à jouir. Il aurait fallut pour ça que je puisse frotter un peu mon sexe s’il avait été libre.

La frustration me rendait fou. Il fallait que je jouisse quitte à me rhabiller pour aller chercher les clés de la cage de chasteté dans la voiture !!!!

J’ai donc commencé à tirer les 25 mètres le ruban avec mes mains menottées dans le dos. C’était trop long, je tirais le plus vite possible sans réfléchir à autre chose que la prudence. Emporté / ravagé / disjoncté / excité / frustré et à la limite de la jouissance ne voulant pas venir, la ficelle m’a échappé des mains.

« Heureusement qu’elle est attachée aux menottes » me suis-je dit. J’ai donc recommencé la récupération des clés mais moins vite. A un moment, j’ai cru que j’allais jouir, alors pour y parvenir, j’ai tiré comme un malade sur toutes les cordes. Celle qui enfonçait le prostate massager et tirait sur ma cage mais aussi le string de corde. J’ai tiré bien trop fortement !!!!

J’ai tiré bien trop fortement parce que je pense que c’est dans ce moment de folie sexuelle, qu’a du casser le ruban d’emballage de cadeau. Je rappelle que les clés des menottes étaient attachées au bout. Je m’en suis rendu compte un long moment plus tard, quand mes doigts m’ont « indiqué » qu’il n’y avait rien au bout du ruban. Mon coeur a failli exploser.

Dans l’affolement et mes tentatives de libération à la sauvage, je ne suis arrivé qu’à me faire mal. Ma tête ruisselait de transpiration et commençait à tourner par manque d’oxygène. Je me suis calmé et j’ai tout fait pour reprendre une respiration normale. J’étais bel et bien piégé !

Les vibrations n’étaient plus du tout agréables. Ma tête n’était plus au plaisir car la nuit allait être longue et le matin horriblement humiliant. Dans un moment comme ça, on se fait des films qui ne sont pas érotiques du tout ! En plus, si la femme de ménage ne passait qu’à 11 heures, j’allais aussi louper mon rendez-vous et cela risquait de devenir « encore bien plus que très beaucoup long ».

La nuit a été horrible. Le matin aussi car je n’avais pas imaginé pisser par terre dans la chambre. Mon cul « poussait » l’intrus et sûrement même ce que les humains font le matin. La peur de fuir du cul m’a angoissé. Quand j’ai entendu taper à la porte, j’ai eu peur. Le son était très faible mais quelqu’un tapait à ma porte. Comment répondre « entrer » quand on est bâillonné et qu’on a une cagoule d’isolation BDSM ? Impossible !

Mon angoisse a encore augmentée, quand j’ai commencé à imaginer que la femme de ménage risquait de ne pas repasser avant le lendemain. Après réflexion, je me suis rappelé que je n’avais pris qu’une nuit. J’ai caressé l’espoir que l’hôtel ait loué la chambre pour la nuit suivante. La femme de ménage est revenue deux autres fois. Elle n’est entrée qu’à la troisième en demandant s’il y avait quelqu’un ?

Et elle m’a découvert.

Et elle a découvert le papier.

Et elle s’est mise à rire !!!!!!!!!!!!!

Malgré l’immense honte, son rire m’a rassuré. Elle aurait aussi bien pu se mettre à hurler de peur et ameuter tout l’hôtel. La Conchita de service ne semblait pas être plus perturbée que ça ce que j’ai trouvé surprenant. Elle me parlait en ouvrant la cagoule qu’elle a peiné à retirer de ma tête trempée.

• Et ben, il a eu chaud la dessous le coquin !

• mmmm ! Fut ma réponse visant à lui faire comprendre qu’il fallait retirer le bâillon pour rendre la conversation plus facile.

• Vous allez bien ? M’a demandé la Conchita.

• J’ai connu mieux ! Pouvez-vous me donner les clés de mes menottes qui doivent être quelque part par là par terre s’il vous plait madame ?

• Il sera de combien ce pourboire ?

• 50 euros !

• C’est tout ? Oh, je vais faire quelques photos, cela sera une belle anecdote que je vais pouvoir raconter. Si je ne fais pas de photos, on ne me croira pas.

• Non non, pas de photo, c’est hors de question !

• Pour 50 euros, je ne cherche pas les clés, j’appelle les pompiers !

• Mais c’est du chantage que vous me faites là !

J’étais furieux en plus de honteux, j’avais envie de la gifler et le ton de ma voix ne lui a pas plu. Mais alors pas du tout. Son visage est devenu dur, ses yeux noirs m’ont annoncé un orage. La Conchita m’a balancé une claque dans les testicules qui m’a coupé le souffle avant de les prendre en main pour les malaxer.

• Je ne fais pas de chantage, je négocie du con ! M’a expliqué Conchita en serrant mes précieuses dans sa main de fer.

• Ahhhh, arrêtez s’il vous plait, ok, nous allons négocier.

• On va répéter la bonne formule. S’il vous plait Madame, insiste bien sur le « Madame » pouvez-vous accepter que je double le pourboire et le porte à 100 euros ? Allez, répète la jolie phrase qui devrait plaire à mes oreilles !

• S’il vous plait Madame, insiste bien sur le « Madame » pouvez-vous accepter que je double le pourboire et le porte à 100 euros ?

• Et tu me les donnes quand ces 100 euros ?

• Dès que je suis libre, promis !

• Ah, cela sent l’arnaque cette histoire.

• Non non, pour qui tu me prends ?

• Oh là, déjà on dit « vous » à une personne que l’on ne connaît pas. Ensuite le ton de ta voix transpire de dédain à mon égard. Et ça, ce n’est pas une bonne idée mec. Attend, je vais retirer tes pinces à sein.

• Non non non, je le ferai tout seul !

• Ta phrase est incomplète encore une fois. Il fallait dire « Non s’il vous plait madame, je le ferai tout seul ». Tu manques vraiment d’éducation ! M’a dit la Conchita en me faisant un grand sourire.

Elle s’est approché de moi, a plaqué sa main sur ma bouche et, d’un seul coup, a retiré une des pinces à sein. Ceux qui connaissent les pinces à sein savent qu’il faut les ouvrir doucement pour que le sang revienne lentement. La Conchita savait ce qu’elle faisait. Si elle n’avait pas bâillonné ma bouche, mon hurlement se serait entendu dans tout l’hôtel.

• Tu vois ce qu’il arrive quand on parle mal à une femme de ménage ? M’a dit Conchita avec un sourire amusé posé sur les lèvres.

• Mais vous connaissez le BDSM vous ?

• Mais qu’est-ce que tu crois du con, que les femmes de ménage ne font que ça dans la vie ? Donc pour toi, elles ne peuvent pas avoir une vie sociale et sexuelle ? ce n’est pas compatible avec ce métier c’est ça ? M’a demandé Conchita en attrapant à nouveau mes précieuses.

Je l’ai suppliée avec tous les mots qu’elle voulait entendre de bien vouloir me laisser me détacher seul. Elle a tenu à avoir son pourboire avant de me libérer. Pour que cela cesse au plus vite, je lui ai dit de prendre 100 euros dans mon portefeuille qui était dans mon sac. Conchita n’a pas été gênée du tout d’aller chercher son pourboire. Le souci est qu’elle a sorti la liasse de billets que j’avais prise pour une « négociation » avec l’acheteur d’une grande société.

• Et ben dit donc, cela pourrait faire un gros pourboire ça ! M’a dit Conchita en agitant les billets sous mes yeux.

• Vous n’aller quand même pas profiter de la situation pour me voler ?

• Oh putain toi, tu me gonfles grave ! A aboyé la Conchita avant de venir m’arracher la deuxième pince à sein après m’avoir bâillonné de sa main.

Elle m’a fait voir qu’elle prenait 100 euros et rangeait le reste de la liasse de billet dans mon sac.

• Tu vois qu’il y a des gens honnêtes, ils négocient mais ne volent pas. Bon je vais te libérer mais tu as intérêt à te tenir tranquille parce que même libre tu ne me fais pas peur.

Conchita s’est mise à chercher les clés et quand elle les a trouvées m’a demandé de me tourner un peu. A cause des cordes, ce n’était pas facile, elle a donc entrepris de les détacher. j’aurai préféré qu’elle me donne mes clés et foute le camp mais je n’ai pas osé la contrarier.

• Oh, je crois que le vilain c’est mis un truc dans le cul !

J’ai recommencé à m’énerver et j’ai crié salope ça suffit ! Ce n’était pas une bonne idée ! Elle m’a attrapé par l’oreille qu’elle a serrée très fort en plantant ses griffes dans mon lobe pour me tirer jusqu’au lit où elle m’a poussé en me faisant sautiller Poussé en avant, j’ai plongé sur sans rien pouvoir faire. Soudain, une série de claques s’est abattues sur mes fesses.

• Je suis une dominatrice du con, pas une salope. Et la dominatrice va t’apprendre le respect !

Je me suis fait démonter les fesses et quand j’arrivais à les protéger un peu avec mes mains encore menottées, elle s’en prenait à mes cuisses ce qui fait horriblement mal. J’avais beau la supplier, rien n’y faisait, à grands coups de claques, elle continuait son explication sur la politesse et le respect que je devrai avoir pour les femmes. Quand enfin elle s’est arrêtée, je me suis excusé et je l’ai suppliée de me libérer avec tous les mots qu’elle voulait entendre.

• Bon, maintenant je vais te libérer et tu vas te manier le cul de remballer tes affaires et de te casser car normalement j’ai fini mon service. Je suis revenue faire ta chambre par conscience professionnelle. OK ? Alors tu te magnes parce que les heures supplémentaires ne me sont pas payées.

Une fois qu’elle m’a libéré les poignets, j’ai pu retirer les colliers de selfbondage réutilisables de mes jambes qui ont été marquées trois jours. Mes cuisses quant à elles, ont gardé cinq jours les marques de sa main de fesseuse. Elle a commencé à arranger le lit qui n’avait pas servi pendant que, avec son accord, je prenais une douche rapide. A mon retour dans la chambre, elle avait regroupé mes affaires et mes jouets dans ma valise.

Je lui ai demandé de se tourner pendant que je m’habillais, elle m’a demandé si je voulais une autre fessée. J’ai abdiqué sans discuter et avant de partir, je lui ai donné un autre billet de 50 euros pour la remercier. Elle l’a refusé en me disant que cela ne faisait pas partie du contrat. J’ai du insister avec des mots comme elle aime, pour qu’elle accepte. Ce qu’elle a refusé c’est de me donner son prénom et son adresse.

J’ai eu beaucoup de chance que la « Conchita » soit une dominatrice. Et même si en plus de la honte, j’ai souffert et je me suis fait recadrer, je préfère ça à la visite de la police et au scandale.

Je suis retourné l’année suivante dans cet hôtel, elle n’était plus là, quel dommage...

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

Note de l’auteur

Je connais une Maîtresse qui d’ailleurs est sur Fessestivites, elle n’aurait pas été gênée de délivrer un homme de son selfbondage. Elle a exactement le même caractère que la « Conchita » de mon histoire érotique.

INFO +

Vous trouverez dans cette rubrique des produits adaptés au selfbondage bien sûr, mais aussi des scénarios de selfbondage, des tutos et des liens.

Nous vous invitons vivement cet article bien renseigné Conseils sur les dangers du selfbondage sur ce qu'il ne faut pas faire et les risques que cela peut représenter pour votre santé ou même votre vie. Soyez prudents et surtout, ne faites JAMAIS de selfbondage avec du breath control (étouffement / contrôle de la respiration).

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